Gabriel Boyer, la cinquantaine, a suivi la formation de diagnostiqueur immobilier dans l’un des centres ADI. La validité de sa certification approchant les cinq ans, il a de nouveau fait confiance à ADI pour sa recertification. Nous le questionnons sur ce choix.
Bonjour Gabriel Boyer, en deux mots, pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour, volontiers. Je m’appelle Gabriel Boyer, j’ai la cinquantaine passée et je suis diagnostiqueur immobilier depuis presque cinq ans déjà. Je ne viens pas du secteur immobilier et j’ai donc dû suivre une formation longue chez ADI pour accéder à cette profession.
Pourquoi avoir choisi un centre formateur ADI à l’époque ?
Ma reconversion professionnelle est un choix mûrement réfléchi pendant presque 18 mois. A ce moment-là, je n’avais aucun contact professionnel dans le milieu du diagnostic ou de l’immobilier.
Autant dire que choisir mon futur centre de formation a été un casse-tête. J’y ai bien consacré un bon mois à éplucher les atouts des uns et des autres, mais également les retours des « anciens » qui y avaient été formés.
Pour moi, ADI avait clairement de sérieux atouts. Une équipe encadrante exigeante et présente, une équipe pédagogique avec des enseignants attentifs aux changements à venir dans le métier.
En quoi est-ce important pour vous cette veille ?
Un enseignant qui se contente de réciter le contenu de son cours ne peut pas sensibiliser les futurs professionnels aux évolutions réglementaires ou techniques qui se dessinent.
Il ne peut pas non plus les sensibiliser au fait que rien n’est acquis dans ce métier, et qu’il faut régulièrement se remettre en cause.
Comme a dit John Ruskin, un écrivain britannique que j’affectionne :
La qualité n’est jamais un accident ; c’est toujours le résultat d’un effort intelligent.
De fait, vous ne pouvez pas prétendre réaliser convenablement votre travail si vous ne faites pas des efforts réguliers, par exemple en réactualisant votre savoir.
Pourquoi, 5 ans après faire de nouveau confiance à ADI ?
Cela ne fait pas tout à fait cinq ans en réalité, mais cela approche. J’anticipe donc pour ne pas être prise de court. Alors, si je fais de nouveau confiance à ADI, c’est parce que j’ai la conviction que cette structure ne se repose pas sur ses acquis. Elle cherche toujours à être à la pointe, à dispenser un enseignement le plus qualitatif possible.
Et pour moi, en tant que professionnel, c’est sécurisant. Ma recertification en poche, je ne vais pas me poser de question pour savoir si j’ai bien toutes les connaissances légales ou techniques pour faire tel ou tel diagnostic. J’en suis persuadé, je les aurai.
Je peux donc sereinement me concentrer sur mon métier et le développement de ma clientèle.