Pierrick Poulain est un homme heureux. Avec sa maison et son beau jardin avec piscine, il est, d’après lui, le « roi du monde ». « Et « à seulement 10 minutes du bureau » rajoute-t-il. Cet ancien éducateur sportif témoigne de sa nouvelle vie de diagnostiqueur près de Tarbes. Il décrit sa nouvelle vie comme totalement adaptée à sa vie de famille. Il nous explique pourquoi.
Qu’est ce qui t’a amené à devenir diagnostiqueur ?
Eh bien pour être totalement honnête, je crois que la raison principale, c’est une vraie bonne grosse crise existentielle. Tu vois, j’ai 48 ans et je ne me voyais pas continuer comme ça. Lever tous les jours à 6 heures du matin, coucher à minuit… et puis ces déplacements continuels dans tous les coins de l’hexagone… Tu sais la vie d’éducateur sportif, ce n’est pas une promenade de santé !
C’est ça qui t’a poussé à devenir diagnostiqueur, une crise personnelle ?
Oui c’est ça. Tu sais j’ai trois enfants et le petit dernier, j’étais bien parti pour ne pas le voir grandir ! Alors, un soir avec ma femme, on s’est mis sur la terrasse de notre appartement – oui à ce moment là on habitait encore en ville, et on a discuté. Je veux dire sérieusement. Je n’allais pas bien à ce moment là et tout le monde s’en rendait bien compte, surtout elle. Je commençais même à boire un peu trop…
C’est ce soir-là que tu t’es décidé pour une formation de diagnostiqueur ?
Bien pas vraiment, ce soir-là, c’était en plein été tu vois et je devais repartir de très bonne heure le lendemain matin. J’avais un rendez-vous avec un sportif de haut niveau à Paris. Et là, franchement, je n’avais plus d’énergie, plus de motivation, rien, le bout du rouleau. Ma femme, elle a été forte tu vois. Elle m’a dit « Pierrick, il faut que tu te ressaisisses ». Alors ce soir-là, elle m’a redonné confiance en moi. Je devais changer ma vie.
Tes motivations pour changer de vie, c’était quoi ?
Déjà c’était d’arrêter le massacre. D’avoir assez de temps pour voir les enfants grandir. Et puis, avoir du temps avec ma femme, du temps pour moi. Bref c’était un souhait de tout changer. Tout ce qui n’allait pas. Tu vois, pendant 12 ans, la passion du sport m’a pris… Mais ça m’a pris ma vie aussi. C’était un métier passion, mais qui ne me permettait pas vraiment de nourrir les miens, et dont les horaires décalés étaient vraiment incompatibles avec une vie de famille digne de ce nom.
Comment tu as fait pour devenir diagnostiqueur alors ?
Eh bien après cette soirée, on a commencé à bien se documenter avec ma femme et on a fait le tour de ce qui était à la fois possible pour moi et qui me motivait. En termes de rémunérations comme en termes de liberté et surtout de temps disponibles pour la famille. Je suis du genre autonome et je n’aime pas trop les boulots répétitifs mais ce pourquoi je voulais changer c’était surtout pour avoir plus de temps en famille. Alors on a fait une petite sélection de différents jobs et celui de diagnostiqueur a surnagé. On a dit bingo pour diagnostiqueur !
Comment tu as fait pour devenir diagnostiqueur alors ?
Eh bien cela a été une reconversion complète. Il a fallu changer de regard, changer de braquet et surtout trouver un organisme de formation. Ce n’est pas si évident parce qu’il y a pas mal d’écoles et de centres un peu partout. Mais j’ai trouvé mon bonheur avec ADI FORMATION et j’ai suivi leur cycle de formation à Toulouse. Cela m’a apporté toute satisfaction.
Qu’est ce qui t’a plu chez ADI FORMATION pour ta formation de diagnostiqueur ?
Eh bien leur présentation en ligne correspond parfaitement à la réalité de ce que j’ai vécue. Ce qui m’a bien plu c’est que toute la formation est tournée vers des connaissances certifiée utiles et des techniques hyper concrètes. Rien n’est à jeter si tu veux devenir diagnostiqueur. Tout peut servir, des techniques aux aspects juridiques. On a même abordé la gestion et la commercialisation, points qui m’intéressaient puisque je voulais ouvrir ma société à moi ensuite.
Et tu es devenu ton propre patron en plus de devenir diagnostiqueur?
Exact. J’ai eu cette chance, aidé en cela par la formation d’ADI mais aussi par mon épouse qui a continué à me conseiller avec discernement. Aujourd’hui je ne regrette vraiment pas d’avoir opéré ce changement de vie à 180 degrés. Parce que je peux enfin me sentir libre et avoir du temps pour ma famille !
Devenir diagnostiqueur t’a vraiment changé la vie
Oh que oui ! Regarde autour de toi, cette maison, cette piscine, ce chouette jardin pour les enfants… Non je crois que j’ai vraiment la vie de château maintenant ! Et bien sûr, je me déplace toujours… mais es déplacements sont devenus vraiment de proximité. Être diagnostiqueur c’est vraiment top. Maintenant je peux vraiment profiter de la vie de famille avec tous ses avantages !