Suivre une formation est une chose, savoir appliquer ses connaissances sur le terrain en est une autre. Pour nous en parler, nous donnons aujourd’hui la parole à Olivier, diagnostiqueur immobilier récemment formé par ADI.
Bonjour Olivier, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Olivier, j’ai 45 ans. je suis diagnostiqueur immobilier depuis quelques temps. J’ai suivi ma formation chez ADI. Cette profession n’est pas du tout celle que j’ai apprise quand j’étais plus jeune. Toutefois, mon divorce a été l’occasion de me remettre en cause professionnellement parlant. J’ai souhaité me réorienter vers un métier qui me ressemble, celui de diagnostiqueur immobilier. C’est une reconversion complète et un véritable changement de cap que je ne regrette pas.
Cela a-t-il été facile de réaliser votre premier diag amiante ?
Si je vous disais que je n’avais aucune appréhension, je vous mentirais. En effet, un centre de formation comme ADI est un cadre parfaitement sécurisé avec des formateurs professionnels qui vous accompagnent et vous encadrent. Vous êtes donc totalement en confiance.
Une fois sur le terrain, c’est-à-dire chez un client pour réaliser un diagnostic immobilier, c’est évidemment bien différent. Le jour de mon premier diag amiante, je ne pouvais plus compter que sur moi-même et sur les connaissances qui m’avaient été transmises.
J’ai ressenti du stress, sans toutefois douter de moi. Au final, tout s’est bien déroulé.
Quelles conséquences pour un diag immo en cas de faute ?
L’amiante, ce n’est quand même pas un produit anodin. La première conséquence est morale. C’est une responsabilité que de bien faire son métier. Un diagnostiqueur immobilier qui ne repère pas de l’amiante dans un logement, c’est grave. Cela peut avoir des conséquences fâcheuses sur la santé des occupants.
D’ailleurs, les services publics ne rigolent pas avec ça. En cas de faute dans le cadre de notre mission, par exemple si le diagnostic amiante n’est pas réalisé dans les règles de l’art ou en cas de négligence, la responsabilité du professionnel est engagée. Les conséquences sont alors très lourdes.
De cette reconversion totale, que faut-il en retenir ?
Pour moi, c’est une fois confronté à la réalité du terrain que l’on prend conscience de sa responsabilité et de l’importance de la qualité de la formation que l’on a reçue.
Pour ma part, j’ai heureusement fait le bon choix avec ADI. Si c’était à refaire, je ferais le même choix sans hésiter. J’ai eu la chance d’avoir des formateurs pédagogues et à l’écoute. C’est ce qui m’a permis de changer d’orientation professionnelle et de n’avoir rien à envier à un confrère qui a suivi un parcours plus “classique”.